The Pretender
Le Caméléon
Utilisé par le Centre depuis son plus jeune âge pour des simulations qui ont coûté la vie à de nombreuses personnes, Jarod s'échappe. Pendant que Sydney et Mlle Parker sont à ses trousses, il tente par tous les moyens de retrouver sa famille. Il en profite aussi pour utiliser ses dons de "caméléon humain" afin ...
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Terminée | Américaine | 45 minutes |
Drame, Policier, Thriller, Action, Adventure, Drama, Science-Fiction, Suspense | NBC, M6 | 1996 |
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1.01 - Le Chat et la souris
Pilot
Jarod, un surdoué âgé d'une trentaine d'années, s'est échappé du « Centre », un institut où il a été tenu en isolation depuis son enfance. Le Dr Sydney l'a programmé pour devenir un « caméléon humain ». Grâce à son intelligence exceptionnelle, Jarod est en effet capable de prendre n'importe quelle identité. Il décide alors de devenir chirurgien et tente de découvrir pourquoi un jeune garçon s'est retrouvé handicapé après une opération. Mlle Parker est chargée par le Centre de rechercher Jarod aux côtés de Sydney...
Diffusion originale : 19 septembre 1996
Diffusion française :
19 septembre 1996
Réalisat.eur.rice.s :
Rick Wallace
Scénariste.s :
Craig Van Sickle
,
Steven Long Mitchell
Guest.s :
Dylan Provencher
,
Jeffrey Shepard
,
L. Scott Caldwell
,
Lilyan Chauvin
,
Lynley Swain
,
Peter Michael Goetz
,
Stephen Tobolowsky
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Critique : The Pretender 1.01
Créé en 1996 par Craig Van Sickle et Steve Long Mitchell, The Pretender est un formula show sur le principe du bon samaritain, mettant en scène un jeu du chat et de la souris entre un homme, Jarod, et une multinationale, Le Centre. Bien que semblable à d'autres séries des années 90, The Pretender est pourtant celle qui a le mieux vieilli, et elle mérite largement une deuxième jeunesse.
Critique : The Pretender 1.04
Pour cette mission, Jarod se plonge dans l'univers du jeu et du hasard, à la recherche d'un assassin dans le royaume du jeu : Vegas. Au programme, un épisode stand alone très réussi, les origines mathématiques du show et Elvis.
Critique : The Pretender 1.03
Pour sa troisième mission, Jarod prend la voie des airs dans un épisode remarquablement soigné pour l'époque. Au programme, la culpabilité, les avions et l'apparition de l'inquiétant M. Raines.
Un pilote réussi, rythmée et efficace qui impose cette série comme un formula show sur un samaritan boy. Le casting est impeccable, la scène entre Jarod et Sydney faisant même preuve d'une intensité surprenante pour un premier épisode.
Jarod se veut justicier, les enjeux sont de différentes natures: corriger ses fautes, retrouver son identité, échapper aux mains du Centre représenté par la charismatique miss Parker.
Il est malin de voir combien la série utilise l'Odyssée comme référence et la littérature antique. Le héros est un surhomme qui n'échouera pas, mais qui possède une part de faiblesse qu'une patiente grecque mettra en évidence avec beaucoup de subtilité.
L'épisode sonne étonnamment juste, les personnages sont vraiment réussis et même si le Centre n'est pas encore une hydre à neuf têtes, le pilote est une vraie réussite.